L'affaire qui secoue le monde du football se poursuit. On peut même se demander ce qui permettra de la stopper ! Chaque jour, pour ne pas dire chaque heure une ancienne gloire de 1998 intervient, qui pour condamner, donner des leçons de la pensée unique type Thuram, Petit, Lama ou Lizarazou qui défend bec et ongle son ami Blanc vantant le renouveau footballistique qu'il aurait su insuffler à l'équipe de France depuis son retour d'Afrique du Sud! A l'exception des deux dernieres rencontre qui valaient les prestations de l'ère Doménech !
A remarquer que la dernière union sacré des bleus de 98 s'est faite contre Raymond Domenech ! pas particulièrement glorieux !
Attendons la décision du coach qui se ressource dans un palace Italien !
En attendant je vous convie à lire un article publié par "le Parti de l'In-nocence", il est intéressant, car il situe ce psychodrame dans ce qui se passe dans notre société française !
BB..............................................................................................
Sur la question des quotas, dans le football et ailleurs
Le parti de l'In-nocence ne doute pas que nos concitoyens n'aient su analyser avec lucidité la dernière opération de
terreur idéologique lancée par les forcenés de l'antiracisme dogmatique, univoque et unilatéral, au sujet des discussions internes à la Fédération Française de Football. Cet antiracisme prétendu
cache de plus en plus mal sa maladive haine de soi, son ressentiment mortifère, sa passion antidémocratique, son aveuglement ; il vient une nouvelle fois de montrer combien il est méprisable avec
la manipulation scandaleuse lancée par le site Médiapart et, hélas, aussitôt entérinée par un pouvoir politique qui n'a jamais si bien montré sa soumission totale et immédiate à la bien-pensance
subie par tous et imposée par tous les moyens, de l'exécution sociale des récalcitrants aux poursuites judiciaires à la guise des chevaliers autoproclamés du Bien. Il ne doute pas non plus que
ces concitoyens attendent l'heure du choix démocratique pour faire connaître leur désapprobation devant cette situation, et il espère bien représenter pour eux une voix qui évite tant l'écueil du
vrai racisme, de la réaction irréfléchie, que de l'antiracisme biaisé car, comme le disait Claude Lévi-Strauss, « en banalisant la notion de racisme, en l’appliquant à tort et à travers, on la
vide de son contenu, et on risque d’aboutir au résultat inverse de celui qu’on recherche ».
Le parti de l'In-nocence dénonce l'abandon, de plus en plus avéré sous la présidence de M. Nicolas Sarkozy, de la politique
républicaine de stricte "méritocratie", associée à la mise en œuvre volontariste des moyens nécessaires, notamment d'instruction et de formation, et aux exigences fortes qui lui donnent tout son
sens, et le développement à l'inverse d'une politique de quotas officielle ou officieuse, dans les entreprises et dans toutes les structures de notre pays, notamment de quotas ethniques ainsi que
le stipule la "Charte de la diversité" des entreprises. Cette politique est expressément conçue comme une discrimination négative au détriment des personnes de souche européenne et au bénéfice du
reste du monde, sans aucune discrimination, selon le terme usité, comme une façon de préférence extra-nationale, ce qui est pure folie et pure injustice. C'est ainsi qu'au gré de flux migratoires
prétendument incontrôlables, on organise le Grand Remplacement, et on favorise, si on ne la suscite pas, la contre-colonisation. Le parti de l'In-nocence veut renverser de fond en comble cette
donne, sans faiblesse ni compromissions.
Le parti de l'In-nocence rappelle enfin qu'au-delà des Français issus du peuple historique qui s'est constitué au cours des
siècles sur le territoire métropolitain, ce sont tous les Français de cœur, ceux qui le sont par l'âme, par l'acceptation reconnaissante de l'héritage français, par le partage des valeurs
civilisationnelles qui le constituent, quelle que soit leur origine, ceux qui ont fait l'effort d'un "moins" important vis-à-vis de leurs origines pour accepter le "plus" de notre culture dans
notre pays, ce sont ceux-là qui sont les premiers floués par cette sinistre comédie.