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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 11:13
On ne peut qu'adhérer aux propos transcrits dans le communiqué du"Parti de l'in-nocence" que vous trouverez ci -dessous.
Nous vivons dans un monde où les médias dictent les ce qui est bon, ce que l'on doit penser. Le Pire est que nos politiques responsables ou irresponsables adhérent à ces doctrines bien pensantes  par manque de franchise, par peur  de la réalité ou des médias ou par manque de courage et un manque absolu de convictions de ce qu'ils représentent. On retrouve là les mêmes symptomes que pour le printemps arabe et la Syrie !
Cela bien sur sans ne rien enlever à l'homme qui après une vie consacrée à ses convictions d'homme libre, à l'amour de son pays,sa patrie, quitte ce monde dans la douleur.
BB.......................................................................
Communiqué n° 1595, vendredi 28 juin 2013
Sur la longue agonie de Nelson Mandela

Le parti de l’In-nocence juge aussi déplacée que ridicule l’espèce de frénésie laudative dont est pris l’univers médiatique à l’approche, croit-il, de la mort de Nelson Mandela : d’abord parce que le père de la nouvelle Afrique du Sud n’est pas encore mort, ensuite parce que cette nouvelle Afrique du Sud, avec sa criminalité hallucinante, la corruption et l’incompétence de son personnel politique, le processus de décivilisation, plus rapide encore que le nôtre, dans laquelle elle semble engagée, n’est point telle que lui avoir donné naissance doive valoir pareille vénération universelle. Nelson
Mandela a mené son combat pour la liberté de son peuple avec un remarquable courage, une haute intelligence et une persévérance admirable, bien dignes d‘éloges. Il n’en reste pas moins qu'il laisse un pays plus violent qu’il ne l’a trouvé.
Le racisme y prospère tout autant qu’auparavant, même s’il a changé de direction principale. Quant aux vestiges de la prospérité mal répartie d’antan, ils doivent leur conservation, pour l’essentiel, à ce qui reste, jusqu'à présent, de la minorité blanche, que le nouveau régime a eu la sagesse intéressée de ne pas jeter à la mer, contrairement à ce qui
s’était passé trente ans plus tôt en Algérie, pour son plus grand malheur économique, et à ce qui est arrivé plus récemment au Zimbabwe voisin.
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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 22:47
Communiqué n° 1592, jeudi 27 juin 2013
Sur certaines déclarations de M. Jean-Louis Bianco, président de l’Observatoire de la laïcité

Le parti de l’In-nocence ne s’étonne même plus des déclarations des grands commis de l’État relatives à la situation du pays.
Les dernières en date, que l’on doit à M. Jean-Louis Bianco, président de l’Observatoire de la laïcité, à l’occasion de la publication du rapport annuel de cet organisme, ne font que le conforter au contraire dans l’idée qu’il n’y a plus rien à attendre de la classe dirigeante “française”, sinon le pire. Ainsi invité par le journal “Le Monde” à commenter la situation
de la laïcité en France, M. Jean-Louis Bianco se livre à un exercice de déni absolument incroyable en déclarant que le bilan est positif − ce qui rappelle d’ailleurs d’autre bilans “globalement positifs” de sinistre mémoire −, et que le seul motif d’inquiétude aujourd’hui en France tiendrait à la « montée évidente de l’islamophobie ».

Le parti de l’In-nocence estime qu’à l’heure de l’affaire de la crèche Baby loup, de la montée des revendications communautaires islamiques, des trahisons répétées de l’esprit de la loi de 1905 à seule fin de financer le flot croissant de mosquées, de l’impossibilité d’enseigner des pans entiers de l’histoire de France et la Shoah en certains territoires, des interdits alimentaires qui touchent les collectivités et de la systématisation de la nourriture halal, ces constats révèlent la complicité évidente des institutions de la République avec la colonisation en cours.

Le parti de l’In-nocence note d’autre part le caractère ironique d’une situation qui voit l’état des lieux du pays confié à des Observatoires, dont le nombre n’a cessé de croître àproportion de la croissance de la cécité sur la réalité du pays, et qui semblent n’avoir d’autre justification que de ne rien observer de ce qui advient. On jurerait qu’ils ne font rien d’autre qu’inverser la perception du réel pour la forcer à se conformer aux diktats du politiquement correct le plus irénique.






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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 23:48

Voila une nouvelle démonstration de la neutralité politique de la justice dans notre pays ! La Taubira fait son devoir socialiste !

Les extrémistes de gauche, qui semble -t-il auraient ouvert les hostilités dans la bagarre qui a coûté la vie au Jeune homme Méric, se retrouvent tous relâchés des garde à vue  et seront peut être convoqués en septembre ! Allez dehors, allez exercé vos talent de casseurs pendant les vacances on se reverra à la rentrée !

Pendant ce temps un jeune maifestant contre le mariage homo moisi en prison. Il est vrai que ce jeune homme, à l'instar des millions de familles qui ont défilé à Paris et dans toute la France pendant ce printemps 2013 sont de dangereux révolutuionnaires.

De qui se moque - t on ?

BB....................................................

Manif pour Méric : un «antifa» relâché et convoqué en septembre
    • Par Nicolas Theodet
    • Mis à jour le 26/06/2013 à 17:21
    • Publié le 26/06/2013 à 16:59
En marge de la manifestation en mémoire de Clément Méric, dimanche dernier, de nombreuses vitrines avaient été brisées.

 

Le dernier gardé à vue de la manifestation antifa de dimanche, au cours de laquelle des vitrines ont été brisées, est convoqué pour rébellion en septembre. Un traitement bien différent de celui de Nicolas Bernard-Busse, militant de la Manif pour tous condamné en comparution immédiate à deux mois ferme pour rébellion et immédiatement écroué.


La PhytothérapieDossier FigaroPartner

Découvrez le dossier
 
L'un des quinze militants interpellés au cours de la manifestation «antifa», dimanche dernier, sera jugé pour rébellion. Lors de cette manifestation en mémoire de Clément Méric, des dégradations de biens immobiliers ont été perpétrées ainsi que plusieurs vitrines cassées dans le quartier de l'Opéra.
Sur quinze interpellations, seules deux ont mené à une garde à vue. La première personne, arrêtée pour port d'arme prohibé, a été relâchée moins de vingt-quatre heures plus tard. L'interpellation de la seconde personne, un homme de 34 ans, a été mouvementée, si bien qu'il a été gardé à vue pour «rébellion» en même temps que «manifestation non autorisée». Il a été libéré ce mercredi avec une simple convocation devant le tribunal correctionnel de Paris en septembre prochain. Sans casier judiciaire, il risquera alors théoriquement jusqu'à un an de prison ferme.
La manifestation «antifa» avait regroupé, dimanche dernier, plus de 6000 personnes en mémoire de Clément Méric, un militant d'extrême gauche tué le 5 juin dernier après une rixe contre un groupe d'extrême droite aux abords de la gare Saint-Lazare.
Le traitement réservé à ce militant antifa diffère de celui de Nicolas Bernard-Busse, un étudiant parisien de 23 ans, arrêté dimanche 16 juin à Paris en marge d'un regroupement non autorisé de la Manif pour tous devant les locaux de la chaîne de télévision M6, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), où François Hollande participait à l'émission «Capital». Il a été condamné à quatre mois de prison, dont deux mois ferme, et 1000 euros d'amende en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Paris. Il a dormi le soir même de sa condamnation en prison.
Interrogé, le ministère public justifie une telle différence de traitement. «Le militant de la Manif pour tous était jugé pour rébellion, avoir donné une fausse identité et avoir refusé le test ADN, explique-t-on au parquet, de plus, il était déjà passé une semaine avant en comparution immédiate, tandis que le participant à la manifestation antifa n'avait jamais eu affaire aux forces de l'ordre.» Et de demander à «ne pas comparer les deux affaires, qui sont totalement opposées». Il n'en reste pas moins vrai que, de source policière, on souligne que la «rébellion» reprochée à Nicolas Bernard-Busse consistait à s'être débattu - lui aussi- lors de son interpellation, provoquant la casse d'assiettes dans un restaurant, qui a porté plainte pour un préjudice de quelque 1000 euros.
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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 00:40
Communiqué n° 1590, lundi 24 juin 2013
Sur une exposition photographique parisienne contre l'homophobie

Le parti de l’In-nocence juge scandaleuse l’exposition, conçue avec l’aval et sous le contrôle de la Ville de Paris qui, par des mises en scène photographiques à motifs attendrissants, invite la population à corriger son homophobie supposée et à apprendre à "aimer" les homosexuels.

Le parti de l’In-nocence estime que les autorités de la Ville n'ont pas dans leurs attributions de dispenser une éducationsentimentale à la population vis à vis d'une catégorie de citoyens. Les homosexuels n’étant ni des trisomiques ni des enfants frappés par la mucoviscidose pour qui il faudrait solliciter des dons, et encore moins des pensionnaires d'un chenil de la Société protectrice des animaux en manque d’affection humaine, mais des citoyens sains de corps et d'esprits jouissant de toutes les prérogatives de droit attachées à la citoyenneté, il voit dans cette exposition une campagne de communication grotesque et insultante pour les homosexuels. L'homophobie, qui est un sentiment, ne doit pas être jugée ni être tenue pour pénalisable, quand bien même ce sentiment serait odieux et,symétriquement, les homosexuels ont le droit de n’être point attendrissants, voire de nourrir tout sentiment hétérophobe dont ils auraient la faiblesse et qui ne saurait leur être reproché ailleurs que dans la sphère privée.

Le parti de l’In-nocence affirme que le droit de chacun de vivre ses sentiments, y compris les plus négatifs, est indissociable de l’état de citoyen libre d’une démocratie, et il rappelle que le rôle de l’Etat est de veiller à ce que l’expression des sentiments et des idées ne nuise en rien à la paix civile et au pacte d’In-nocence et qu’à ce titre, seule doit préoccuper la Ville de Paris et la puissance publique la répression des agressions physiques aux personnes homosexuelles, victimes parce qu'elles sont homosexuelles ; ces agressions doivent être sévèrement jugées par l'appareil judiciaire et punies avec la plus grande rigueur, tout autant, mais non point plus particulièrement, que les agressions dont sont victimes les prostituées parce qu'elles sont prostituées, les chauffeurs de bus parce qu'ils sont chauffeurs de bus, les professeurs parce qu'ils sont professeurs. L'absence de rigueur judiciaire dans la sanction des coupables d'agressions ne saurait être palliée par des campagnes de communication déplacées et humiliantes pour les intéressés, lesquelles, en masquant l'impuissance des pouvoirs publics sous des sommations à actionner une police des sentiments, relayées par des officines spécialisées clientes du pouvoir, mettent en œuvre un procédé qui, pour être dérisoire, n'en est pas moins typique de ceux qui distinguèrent les pires régimes totalitaires du XXe siècle.
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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 23:45

Pareil en Lybie, Irak et demain en Syrie ! Se débarasser des dictateus occidentalisés qui mettent leurs adversaires en prisons pour les remplacer par des "démocrate"s  islamistes de la mouvance al Kaïda qui n'emprisonnent pas,ils égorgent, ils lapident et supriment les libertés,  . Ainsi les touristes fuient ces pays et les populations démocrates se retrouvent sans travail et ne pense qu'à fuir vers nos pays occidentaux incapables de les accueillir car la crise économique mondiale les ruine ! Pa s de travail par de possibiltré de vivre en occident .

BB  ...................................................................................................

 

 

 

Bpoint barre .

Tunisiennes vous étes avertis !
Tunisiennes vous étes avertis !
Tunisiennes vous étes avertis !
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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 00:47

La gauche en pleine hystérie

 

 Après un an d’exercice du pouvoir, marqué par un échec économique, politique et moral, la gauche n’a plus rien à dire aux Français, sauf crier au loup fasciste !
Clément Méric, 18 ans, est mort il y a une semaine, à la suite d’une bagarre avec quatre skinheads. L’auteur des coups, Esteban Morillo, a été interpellé dès le lendemain, et mis en examen pour “violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner”. Les deux garçons étaient connus des services de police. Le premier pour faire partie d’un groupe de militants d’extrême gauche qui recherchaient aisément la confrontation. Le second pour ses liens avec différents mouvements d’extrême droite qui pratiquaient facilement le coup de poing.
L’affaire aurait pu en rester là si la “gauche morale” n’avait pas aussitôt “sauté” sur le cadavre de cet étudiant de Sciences Po, pour dénoncer une “menace fasciste”, stigmatiser le Front national et, pire encore, faire le lien entre ce crime perpétré par des décérébrés et les millions de Français qui ont défilé dans les rues de Paris pour protester contre le “mariage pour tous”.
Que n’a-t-on pas entendu en l’espace d’une semaine ? Le Chant des partisans entonné à Sciences Po comme si le spectre du nazisme était aux portes de Paris. Jean-Michel Aphatie, le porte-parole de la bien-pensance, accusant Marine Le Pen d’une connivence avec ces skinheads. Ou, plus grave, Pierre Bergé déclarant sur Twitter : « L’immonde Barjot avait promis du sang, le voilà qui éclabousse la démocratie et la République. » En dépit des violentes réactions suscitées par ce commentaire imbécile, cette icône sénile de la gauche caviar a confirmé ses propos : « Malgré tous ceux qui m’insultent, je le redis : La Manif pour tous a accepté dans ses rangs ces fachos qui ont tué Clément. À eux de réfléchir. »
En ajoutant à cela les suppliques du premier ministre à son ministre de l’Intérieur demandant la dissolution d’un mouvement extrémiste inconnu, chacun a pu mesurer à quel point la gauche, tout entière, était tombée dans une forme d’hystérie. Comme si, face à son échec économique, politique et sociétal, la majorité — devenue une petite minorité face au pays réel — cherchait une voie de diversion. Comme si, pour ressouder un Parti socialiste aux abois, un Front de gauche décrédibilisé et des Verts hirsutes, il ne restait plus aux chiens de garde de l’Élysée que cette piètre issue de secours : crier au loup fasciste ! Comme si, finalement, au bout d’un an de pouvoir, la gauche n’avait plus rien à dire aux Français.
Plutôt que de faire systématiquement de l’extrême droite une sorte de monstre (comme à Carpentras avec François Mitterrand), les socialistes seraient mieux inspirés d’essayer de comprendre pourquoi un mouvement comme le Front national fait jeu égal avec la pompeuse Rue de Solferino dans les sondages pour les futures européennes. Pourquoi plus le chômage grimpe, plus les usines ferment, plus les impôts montent, plus la délinquance s’affole, plus Marine Le Pen prospère en popularité et son parti progresse dans les intentions de vote.
Quand donc les Français qui nous gouvernent et ceux qui aspirent à gouverner accepteront-ils un jour de regarder les électeurs du Front national comme des Français normaux, et pas comme des fascistes ? Quand donc se poseront-ils la question de savoir pourquoi ils rejettent des politiques qui les ont conduits à Pôle emploi, au déclassement et aux fins de mois impossibles à boucler ? Quand donc arrêtera-t-on de prononcer systématiquement des fatwas à l’égard de ceux qui s’inquiètent — parfois à juste titre — de ne plus se sentir en France ?
Bien sûr, le Front national dérange de plus en plus. À gauche, où il commence à faire perdre les différentes élections partielles. Et à droite, où il pourrait bientôt afficher plus d’électeurs que la seule UMP. Bien sûr, Marine Le Pen séduit un électorat de plus en plus jeune et de plus en plus mélangé socialement. Mais faut-il être vraiment à court d’arguments pour accuser à la fois le Front national et La Manif pour tous d’être à l’origine de la violence qui a coûté la vie à Clément Méric ! Alors que Marine Le Pen s’est abstenue de défiler contre le mariage homosexuel !
Paul Valéry écrivait que « le monde ne vaut que par les extrêmes et ne dure que par les moyens. Il ne vaut que par les ultras et ne dure que par les modérés ». Oui, il faut des extrémismes pour mieux les combattre et des ultras pour mieux apprécier la tempérance et le débat d’idées. Mais cela n’interdit pas aussi de chercher des solutions pour tous ceux qui se réfugient derrière ces extrêmes. Et écouter ce peuple bâillonné, stigmatisé, voire diabolisé, ne signifie pas excuser telle violence ou tel crime. C’est juste le devoir de n’importe quel acteur d’une démocratie vivante. Plutôt que de jeter l’opprobre, de crier au déshonneur et d’en appeler à la honte.
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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 23:42

La France République reconnue  dans le monde au moins   jusqu'a la fin de lannée 2012 comme exemplaire, La France pays des droits de l'homme, La France grande donneuse de leçons sur la démocratie   chez les autres, dans le monde entier s'adonne aujourd'hui aux procès politiques, et aux condamnations et internements politiques  !

Qu'elle belle IMAGE de cette France qui depuis des siècles estle phare de la liberté dans le monde !.....

BB ....................................................

 

Mariage gay : un opposant de 23 ans condamné à de la prison ferme

Le HuffPost avec AFP  |  Publication: 19/06/2013 21h38 CEST  |  Mis à jour: 19/06/2013 22h18 CEST

MARIAGE GAY - Un opposant au mariage homosexuel de 23 ans a été condamné mercredi 19 juin à deux mois de prison ferme avec mandat de dépôt, notamment pour rébellion, par le tribunal correctionnel de Paris, a-t-on appris de source judiciaire.

Selon cette source, il s'agit de la première condamnation assortie d'un mandat dépôt prononcée à l'encontre d'un opposant au mariage homosexuel.

Le jeune homme était présent dimanche avec quelque 1.500 opposants au mariage homosexuel devant les locaux de la chaîne de télévision M6, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), où François Hollande participait à l'émission "Capital".

Condamné pour rébellion et refus de prélèvement

Il a ensuite manifesté avec d'autres opposants au mariage homosexuel dans le XVIe arrondissement, où il a été interpellé, selon la source, aucune manifestation n'y ayant été déclarée.

Le jeune homme a refusé de se livrer à un prélèvement de ses empreintes ou à un prélèvement ADN, a-t-on ajouté.

Il a été condamné pour rébellion et refus de prélèvement lors d'une audience en comparution immédiate, mercredi après-midi à Paris, à quatre mois de prison, dont deux ferme, avec mandat de dépôt et 1.000 euros d'amende, a-t-on ajouté.

Depuis l'annonce de la condamnation, les internautes opposants au mariage pour tous s'indignent sur les réseaux sociaux et en particulier sur Twitter. Un compte a même été créé pour l'occasion, @SoutienNicolas. Elle reprend une photo qui a beaucoup circulé sur le réseau. Un jeune homme les mains menottés est présenté comme le manifestant condamné.

Le HuffPost avec AFP  |  Publication: 19/06/2013 21h38 CEST  |  Mis à jour: 19/06/2013 22h18 CEST

MARIAGE GAY - Un opposant au mariage homosexuel de 23 ans a été condamné mercredi 19 juin à deux mois de prison ferme avec mandat de dépôt, notamment pour rébellion, par le tribunal correctionnel de Paris, a-t-on appris de source judiciaire.
Selon cette source, il s'agit de la première condamnation assortie d'un mandat dépôt prononcée à l'encontre d'un opposant au mariage homosexuel.
Le jeune homme était présent dimanche avec quelque 1.500 opposants au mariage homosexuel devant les locaux de la chaîne de télévision M6, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), où François Hollande participait à l'émission "Capital".
Condamné pour rébellion et refus de prélèvement
Il a ensuite manifesté avec d'autres opposants au mariage homosexuel dans le XVIe arrondissement, où il a été interpellé, selon la source, aucune manifestation n'y ayant été déclarée.
Le jeune homme a refusé de se livrer à un prélèvement de ses empreintes ou à un prélèvement ADN, a-t-on ajouté.
Il a été condamné pour rébellion et refus de prélèvement lors d'une audience en comparution immédiate, mercredi après-midi à Paris, à quatre mois de prison, dont deux ferme, avec mandat de dépôt et 1.000 euros d'amende, a-t-on ajouté.
Depuis l'annonce de la condamnation, les internautes opposants au mariage pour tous s'indignent sur les réseaux sociaux et en particulier sur Twitter. Un compte a même été créé pour l'occasion, @SoutienNicolas. Elle reprend une photo qui a beaucoup circulé sur le réseau. Un jeune homme les mains menottés est présenté comme le manifestant condamné.
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18 juin 2013 2 18 /06 /juin /2013 00:18
L’Europe de l’Atlantique à l’Oural
1
juin 11, 2013
Raymond Aron dans ses Mémoires parlait de « grand dessein du général ».  La diplomatie gaullienne,  dans un monde qui à l’époque est la proie des idéologies adverses, de l’affrontement Est/Ouest, use de la puissance évocatrice du symbole.
Et d’abord, ce grand dessein vient en opposition avec la diplomatie de la IVème République, dont la critique sans appel il y a plus d’un demi-siècle, pourrait étrangement être reprise aujourd’hui à l’encontre des derniers gouvernements de la France depuis 20 ans au moins. Je vous en laisse juge :
« Faute du ressort, grâce auquel nous nous tenions debout, c’est à satisfaire les autres qu’en somme s’employait le régime. Bien entendu, il trouvait, pour couvrir cet effacement, les idéologies voulues : l’Une, au nom de l’Unité de l’Europe, liquidant les avantages qui nous avait valu la victoire ; l’autre, sous prétexte de solidarité atlantique, soumettant la France à l’hégémonie des Anglo-saxons ».
Jugement vous l’avouerez visionnaire : Au nom de l’Unité européenne, nous aboutirons à la guerre en ex-Yougoslavie. Sous prétexte de solidarité atlantique, la France est elle intervenue en Afghanistan, en Irak, en Lybie et demain peut-être en Syrie.
Alors cette Europe de l’Atlantique à l’Oural, elle est, reconnaissons le, bien compromise et aujourd’hui à l’état de vestiges. C’est le sens d’un petit poème en prose du dessinateur David Miège, composé pour son ouvrage « l’Europe vagabonde », que je ne saurais trop vous conseiller et dont je vous fais lecture.
  Vestiges :
« Je suis l’enfant des vestiges de l’Europe. J’arpente un continent qui n’est plus qu’un musée. Ma vieille Europe prend désormais ses ordres à Washington depuis qu’elle s’est suicidée dans un siècle sanglant. Mon Europe n’est plus galante, qui se rêvait aventureuse, conquérante, éprise de grandes épopées. Cette Europe est morte, enterrée à Sarajevo… remplacée par des boutiquiers, des technocrates, des spéculateurs tous unis pour décorer en grisaille nos quotidiens. Elle n’est que l’ombre d’elle-même. Spectre cosmopolite sans visage, sans identité. Mon Europe se conjugue au passé dans des souvenirs qui se dissipent peu à peu dans le brouhaha de glaciales métropoles. Notre futur est incertain, mais qu’importe puisque résignés, nous savons que nous n’en serons pas. ».
Sommes nous pour autant condamnés à la mélancolie ? Bien sûr que non ! Et c’est ce que nous dit Charles de Gaulle dans ses mémoires d’Espoir lorsqu’il parle de ce vaste champ de l’Europe :
« Pour moi, j’ai de tous temps, mais aujourd’hui plus que jamais, ressenti ce qu’ont en commun les nations qui peuplent l’Europe. Toutes étant de même race blanche, de même origine chrétienne, de même manière de vivre, liées entre elles depuis toujours par d’innombrables relations de pensée, d’art, de science, de politique, de commerce, il est conforme à leur nature qu’elles en viennent à former un tout, ayant au milieu du monde son caractère et son organisation. C’est en vertu de cette destination de l’Europe qu’y régnèrent les Empereurs romains, que Charlemagne, Charles Quint, Napoléon tentèrent de la rassembler, qu’Hitler prétendit lui imposer son écrasante domination. Comment, pourtant, ne pas observer qu’aucun de ses fédérateurs n’obtint des pays soumis qu’ils renoncent à être eux-mêmes ? Au contraire, l’arbitraire centralisation provoqua toujours, par choc en retour, la virulence des nationalités. Je crois donc qu’à présent, non plus qu’à d’autres époques, l’union de l’Europe ne saurait être la fusion des peuples, mais qu’elle peut et doit résulter de leur systématique rapprochement. Or, tout y pousse en notre temps d’échange massif, d’entreprises communes, de science, de technique sans frontières, de communications rapides, d’échanges multipliés. Ma politique vise donc à l’institution du concert des Etats européens,, afin qu’en développant entre eux des liens de toutes sortes grandisse leur solidarité. Rien n’empêche de penser, qu’à partir de là, et surtout s’ils sont demain l’objet d’une même menace, l’évolution puisse aboutir à leur confédération. »
Tout est dit !
Deux choses, seulement pour terminer. De Gaulle pensait cette Europe confédérale de l’Atlantique à l’Oural dans l’accompagnement de la réunification allemande.  Plus de 20 ans après la chute du mur de Berlin, s’est constituée une Europe qui est à l’opposé  du grand dessin gaullien. Une Europe qui avec la guerre en Bosnie Herzégovine prend le tournant idéologique du multiculturalisme et du communautarisme, de la défense de Sarajevo. C’est l’intervention de l’OTAN en 1995.
Cette Europe n’est pas celle dont nous parlait le Général de Gaulle dans les mémoires d’Espoir, celle sans doute principalement de race blanche et surtout de même origine chrétienne et de même manière de vivre.  Mais c’est peut-être là la même menace à laquelle l’ensemble des peuples européens est aujourd’hui soumise. La perte de son homogénéité en tant que peuple, la dissolution de ses valeurs spirituelles, la destruction de ses racines culturelles ! C’est alors de cette menace, réellement prise en compte que pourra naître, demain, cette confédération européenne que nous appelons aujourd’hui de nos vœux, de l’Atlantique à l’Oural.
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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 15:26

 Des "rumeurs", desquelles s'ensuit une polémique habilement manoeuvrée par le pouvoir a pris corp sur le net, avec quelque retombées dans les médias gauchistes, tel le Monde.

Cet article d'André Noël est intéressant au moins pour dégonfler ces rumeurs en laissant bien voir que des officiers supérieurs et autres, comme desz millions de civils français,  ont des convictions personnelles et n'hésitent pas à les défendre, même apparemment aux risques de leur carrière.

Ce type de manoeuvre montre à quel niveau se situe le pouvoir de Normal i° et de ses sinistres, et le mépris qu'ils ont de la démocratie, de la liberté de penser, de la liberté d'expression en un mot du peuple. C'est là ce qui ressemble le plus à un régime dictatorial !...

BB.........................................................................
Vers une épuration des officiers catholiques dans l’armée ?
Je reproduis, ici, un article d’André Noël, paru dans son bulletin : Synthèse hebdomadaire des problèmes français et internationaux, N° 2334, semaine du 10 au 16 juin 2013.
Il y a toujours eu plus de catholiques fervents dans le métier des armes que dans les autres. À quoi cela tient-il ? Sans doute à la volonté de se conformer à ce que disait Notre-Seigneur : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux que l’on aime. » Le pieux chanoine Berto, fondateur de l’orphelinat Notre-Dame de Joie, écrivait à ses « anciens », en saluant la mémoire d’ex-pensionnaires engagés volontaires et morts pour la France en Indochine : « J’ai été et je suis fier d’eux. Soyons fiers ensemble de ceux qui sont tombés. Une seule gloire est au-dessus de la leur : celle des martyrs. En attendant que nous ayons des martyrs parmi nous, Bertrand et Louis-Yvon sont notre plus haut honneur. Nous ne le désavouerons jamais. »
Ce sont des hommes de fidélité, à leur foi catholique, certes, mais aussi à leur pays, quel qu’en soit le gouvernement. Cette double loyauté peut être difficile à vivre lorsqu’elle devient conflictuelle. On l’a bien vu lors de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, au début du siècle dernier, quand des officiers ont préféré briser leur épée plutôt que procéder à l’expulsion des religieux de leur couvent. D’où la traque des officiers catholiques dans l’armée par le gouvernement anticlérical et franc-maçon d’alors.
Cela va-t-il recommencer ? Il paraît que le gouvernement prend « très au sérieux »  (Le Monde du 8 juin) la « pénétration » des catholiques traditionalistes dans l’armée, relayée par de hauts gradés.
Tout le monde a pu constater que l’ancien gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Dary, fut l’efficace co-organisateur de la Manif pour tous. Versé dans le cadre de réserve, retraité, il est désormais bien libre de dire et de faire ce qu’il veut comme citoyen y compris – ce dont s’effraie le ministre de la Défense ! – d’appeler à « la résistance contre cette mauvaise loi ». Le ministre a oublié qu’un autre général avait déjà appelé à la résistance, en 1940, et qu’il a été, par la suite, reconnu comme un héros national après avoir été condamné à mort. Ses amis disent que son tort fut d’avoir eu raison trop tôt. L’Histoire, assurent-ils, lui a rendu justice…
Oui mais ! Actuellement, il est un autre général qui, lui, est toujours dans l’active et pas n’importe où : c’est le chef d’état-major particulier du président de la République, le général Benoît Puga, dont le frère, l’abbé Denis Puga, est membre de la Fraternité S.Pie X et exerce son apostolat à Paris, à l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Le général Puga lui-même est un familier de cette paroisse et il n’est pas éloigné du mouvement traditionaliste Civitas, à la pointe du combat contre ce qui agresse la foi catholique. Dans le collimateur des services de renseignements, il y a aussi Pierre de Villiers, major général des armées.
A ce stade, la première question qui vient à l’esprit est celle-ci : le « frère » Jean-Yves Le Drian, actuel ministre de la défense, est-il en train d’établir une liste noire d’officiers catholiques, contrairement à la loi qui interdit de ficher les citoyens en fonction de leurs convictions  religieuses ou philosophiques ? Le Monde indique que « les services de renseignements ont placé cette frange minoritaire mais rendue très visible depuis les manifestations anti-mariage gay, sous surveillance ». Comme on n’a évidemment rien à leur reprocher d’un point de vue légal, il faut bien trouver un prétexte pour justifier cette surveillance puisque le fait qu’ils soient catholiques et hostiles au « mariage pour tous » ne saurait constituer un motif valable de mise à l’écart.
Ils ont trouvé : on va les soupçonner de fomenter un putsch pour renverser le gouvernement socialiste ! Le soupçon est énorme, son fondement plus que ténu. Il s’agit d’un article, circulant sur Internet, de La Revue de l’Arsenal, une nouvelle publication qui, après avoir souligné le « grand mécontentement » des armées, évoque un Mouvement du 6 mai qui serait suscité par des officiers en lutte contre « le cabinet franc-maçon » du ministre de la Défense. Les trois généraux évoqués plus haut pourraient être le moteur d’un possible sursaut ; et la revue d’appeler de ses voeux une sorte de putsch. Mais les auteurs de ce texte soulignent que ces généraux n’ont pas cette intention-là ! Du coup, ils opinent que « le salut viendra des capitaines » si les généraux font défaut. C’est tout ! Pas de quoi décréter la République en danger et la démocratie en péril.
Évidemment, les généraux Dary, Puga et Villiers ne sont pour rien dans ces rêveries putschistes. Mais Le Monde note, juste après ce prétendu projet de putsch militaire : « Aucun des trois hauts gradés n’a publiquement démenti sa proximité avec les idées politiques qui leur sont prêtées. » Suivez mon regard… Pourquoi démentiraient-ils des idées politiques qui sont les leurs en effet et qu’il est parfaitement légal de professer ? On comprend ce qu’insinue le fielleux quotidien du soir qui n’a pu être informé que par des sources proches du ministère de la Défense : s’ils ne démentent pas cette proximité, n’est-ce pas parce qu’ils sont proches, si ce n’est complices, de « putschistes » qui partagent leurs idées politiques ? On appelle ça la culpabilité par amalgame. Technique jadis employée lors des procès de Moscou: puisque vous ne répondez rien quand on vous accuse de comploter contre le Parti, c’est que vous êtes du complot. Votre silence, voilà la preuve que nous cherchions !
Ajoutez à cela que le gouvernement, avant même de songer à la dissolution des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, préparait celle du Printemps français, dissidence traditionaliste de la Manif pour tous. Ce « Printemps » est une émanation, dit-on, de Civitas dont le général Puga est proche. Toutefois il n’y aura pas de révocations pour ce motif car cela est impossible juridiquement.
L’épuration pourrait donc prendre une forme feutrée : on inciterait fortement les officiers généraux en activité, trop catholiques au goût du pouvoir, à faire valoir leurs droits à une retraite anticipée, sans murmure ni hésitation : un général peut-il être proche d’un mouvement dissous pour violence et subversion ? Puis on s’en prendrait aux officiers d’un grade moindre. Des sanctions contre ceux-là ont déjà été prises : un colonel a été sorti de la liste de ceux pouvant être élevés au grade de général: on l’avait vu affronter les « Femen » (opposantes féministes dénudées) lors d’une manifestation. On enquête également sur un officier de réserve des forces opérationnelles lié au Printemps français et vu dans des manifestations. Le gouvernement compte sur la discrétion de ces serviteurs de l’Etat, l’armée étant « la grande muette », pour procéder à une épuration en douceur.
Le gouvernement nourrit ses dossiers et propage dans la presse l’idée qu’il y a du complot militaire dans l’air. Il convient d’être vigilant face à un pouvoir qui est le plus anticatholique depuis les sombres heures du Petit Père Combes et qui compte le plus grand nombre de ministres francs-maçons.
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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 13:59

J'apprécie assez ce communiqué du parti de l'in-nocence, qui condamne les "faux manifestants" qui ont voulu ternir la fin de la magnifique démonstration de "la manif pour tous".

Rassembler des centaines de milliers de familles de toutes les régions de France, les faire défiler pendant plus de 6 heures dans les rue de Paris, non seiulement sans incidents, mais surtout dans la joie et le bonheur de se retrouver physiquement mais aussi spirituellemnet défrenseur des mêmes valeurs de la famille et de notre société.

Comme le parti d' l'in-nocence, je finis par me demander si les risques de fin de manif, ne sont pas programmés pour nuire au succès de la démonstration; PAR QUI ,.....

bb................................

Communiqué n° 1580, lundi 27 mai 2012
Sur les débordements survenus après la manifestation du 26 mai

Le parti de l’In-nocence — son nom l’implique assez — ne peut que désapprouver complètement les agressions, violences, débordements et nocences diverses dont ont pu se rendre coupables certains manifestants marginaux à l’issue de la démonstration d'hier contre le dit “mariage pour tous”, à laquelle lui-même ne participait pas. Toute violence inutile et relevant d’autre chose que de la pure et simple résistance est fermement condamnée par lui.

Le parti de l’In-nocence, cela étant, a de bonnes raisons de se méfier des relations des faits offertes par le pouvoir et par le complexe médiatico-politique. D’autre part il ne peut être que frappé, une fois de plus, par l’invraisemblable disproportion entre les réactions, qu’elles soient policières, judiciaires ou politiques, selon que sont incriminés, pour des nocences d’une gravité pourtant très inégale, des responsables indigènes ou bien appartenant aux forces beaucoup plus agressives et crapuleuses de la colonisation en cours.

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